Le Monde De Lucinda Petit Papillon
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 Reflexion, pourquoi c’est si difficile d’aimer (1ere partie)

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AuteurMessage
Lucinda
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MessageSujet: Reflexion, pourquoi c’est si difficile d’aimer (1ere partie)   Reflexion, pourquoi c’est si difficile d’aimer (1ere partie) EmptyMer 31 Aoû - 15:17

Coucou à tous,

Sujet a la fois interessant mais aussi difficile dans ce monde moderne ;)

Peut etre un debut d'explication dans ces mots ci, je vous laisse lire et juger par vous meme :)

Bonne lecture

☀
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En jouant avec nos désirs, notre inconscient brouille les cartes et empêche souvent la réussite de la relation. Un jeu truqué dès l’enfance.

Isabelles Taubes

Pas d’amour sans histoire : on parle d’ailleurs d’histoires d’amour. Mais il occasionne tant d’histoires parfois que, à chaque tentative de nouer un lien, c’est la souffrance ou la rupture. Inutile d’accuser le mauvais sort : l’impossibilité d’aimer ou de se rendre aimable est toujours le résultat d’impasses ayant marqué le cheminement psycho-affectif d’un individu depuis son enfance. Notre façon d’aimer est le reflet de nos relations avec notre intériorité. C’est pourquoi il est toujours possible de rompre la chaîne du malheur. En prenant conscience des dix obstacles qui sous-tendent notre incapacité à vivre l’amour pleinement.

La nostalgie de l’amour maternel

" Je veux qu’on m’accepte tel que je suis. Une femme qui critique mon mode de vie ne m’aime pas ", déclare Cédric qui, à 35 ans, n’a jamais connu de relation amoureuse durable. L’accepter tel qu’il est signifie tolérer sans broncher ses chères habitudes. En particulier, ses fins de semaine en célibataire, avec ses copains. Des comportements qui lui valent des reproches et finissent par provoquer la rupture. " Il est légitime d’espérer être aimé tel qu’on est, à ceci près que certaines attitudes sont insupportables pour l’autre, explique Gérard Louvain, psychothérapeute. La seule personne qui puisse nous accepter sans condition, c’est notre mère. Continuer à penser, à l’âge adulte, qu’il existe sur terre un autre être capable d’offrir un amour aussi inconditionnel nous expose à nous sentir perpétuellement mal aimés. Et à estimer que personne n’est digne de notre amour. "

Les blessures du passé

Catherine ne cesse de répéter le même scénario : séduire des hommes qui ne s’intéressent pas à elle et fuir dès qu’on lui témoigne sa flamme. " Nous sommes conditionnés par nos premières amours, affirme Gérard Louvain. La façon dont nos parents nous ont aimés détermine en grande partie nos comportements amoureux. La fille d’une mère mal aimante recherchera souvent des partenaires qui donnent peu : pour elle, c’est une manière de revivre la première expérience amoureuse qu’elle ait connue. " De même, l’homme trop aimé par sa mère aura peur des autres femmes. La répétition de la souffrance est un mécanisme psychique très fréquent : dans l’inconscient, ils inscrivent une forme de jouissance masochiste dont il est très difficile de se libérer. Autre cas de figure, cité par Erich Fromm dans “l’Art d’aimer” (1) , un classique de la littérature psychanalytique sur l’amour : la fixation à des parents qui ne s’aimaient pas, mais trop coincés pour extérioriser leurs sentiments hostiles. Une situation qui fait rimer émotion et danger. " Leur position défensive bloque toute relation spontanée avec l’enfant qui, en retour, se réfugie dans un monde à lui, attitude qu’il continue d’entretenir plus tard dans ses relations amoureuses. "

1- Desclée de Brouwer, 1983.

Le besoin infantile de prise en charge

Tous les partenaires d’Emilie l’abandonnent. La moindre contrariété l’incite à appeler au secours, mais elle n’est jamais là quand l’autre quémande à son tour une once de soutien. " Aimer, c’est être là quand l’autre est en détresse, rappelle Martine Ravel, psychothérapeute. Une tâche impossible lorsque, dans son inconscient, on se voit dans la peau d’un enfant à qui tout est dû. On ne peut alors qu’exiger d’être pris en charge en permanence, sans être en mesure de quitter cette place pour jouer le rôle de celui qui protège. "

La peur de l’engagement

La peur de s’engager peut donner lieu à une authentique phobie, proche de la claustrophobie : être intime avec un autre est synonyme d’enfermement. Les phobiques de l’engagement ont la sensation que se décider pour un partenaire engage leur existence à tout jamais sans possibilité, ensuite, si cela tourne mal, de sortir du lien. Une perspective forcément très angoissante ! Erich Fromm repère trois autre types de peurs qui poussent à fuir l’amour : la " peur de l’intimité ", qui conduit à la solitude à deux, la " peur des conflits " et la " peur de la souffrance ", qui mènent fatalement à la solitude, puisque aimer ne va jamais sans douleur et sans heurts. D’ailleurs, affirme-t-il, les crises, loin d’être destructrices, " produisent une catharsis – une libération – dont les deux personnes émergent avec plus de connaissance et de force ".


Source : psychologie.com
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